Je vous ai, pour rappel, communiqué les éléments ci-joints, ainsi que les coordonnées de l'hôpital
l'Hôpital
ainsi que mon 06 (06.XX.XX.XX.XX).
Tout ceci le 22 janvier. Depuis, nada. Pas de mail (vous qui étiez si prompt à me contacter pour me poser tout un tas de questions rigolotes, moi qui vous répondait de même dans la foulée, cet échange épistolaire qui semblait n'en plus vouloir finir - puis RIEN). Pas d'appel non plus, à ma connaissance (et pourtant, j'ai même fait l'effort de répondre aux numéros "privés", ce qui pourtant m'exaspère grave).
Cher Partenaire Santé, comme on dit de façon un peu triviale, je "passe sur le billard" dans une semaine tout juste. Jeudi prochain à cette heure, tout sera en train de se jouer. Et moi là, en gros, je ne sais même pas si je peux me payer les tartines qui me seront a priori proposées derrière (rassurez-vous par contre, vous pouvez continuer de prélever ma cotisation d'assurance santé ; vous ne me répondez pas, mais je paye).
Je cotise chaque mois la modique somme de 70 euros. Soit, à l'année, 70*12=840 euros. En gros, un demi-mois de salaire. Cela pour, en théorie, m'éviter, au moins en partie, ce type de stress. Et sachant, encore une fois, que je ne suis, en général, même pas une grande consommatrice de soins médicaux (le docteur, allez-y avant d'être malade, et tout ira bien. Telle est ma devise).
Cher Partenaire Santé, j'ai apprécié nos échanges riches, qui par ailleurs, me permettant de m'exprimer, m'ont épargné des RDV chez le psy (je plaisante, je viens de prendre RDV, mais cela ne vous coûtera rien) ; mais les plaisanteries les plus courtes sont souvent les meilleurs, aussi, je vous remercie, s'il vous plait, de bien vouloir répondre à ma demande d'information.
Faute de quoi, comptez-sur moi pour ressortir mes cours d'économie sociale et solidaire et ainsi vous permettre d'en revenir aux origines des assurances et mutuelles, et croyez-moi, vu les souvenirs que j'en garde, nous n'en sortirons pas indemnes...
Un grand merci par avance,
Courage...
RépondreSupprimerIls se contrefichent du stress supplémentaire qu'ils te font subir, c'est triste :(
Et au téléphone, ils sont toujours aussi peu réceptifs ?
RépondreSupprimerC'est déjà pas simple d'être une PMette alors si l'administration nous complique autant la vie, on finit par devenir chèvre !
A force d'harcèlement, tu auras bien une réponse.
J'aime toujours autant (même si j'aurais préféré que tu n'aies jamais à écrire ce type de lettre...) !
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